Plongée sans sel

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l'entretien

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Les piles & le froid
Le problème du sel ne se posant pas en lac, la cérémonie du lavage part à la trappe ! D’autres soucis existent par contre comme le froid qui raccourcit la durée de fonctionnement des accus du boîtier. Contrôlez bien l'état de charge avant chaque plongée car se retrouver en panne avant la plongée est rageant !

Condensation, le véritable ennemi
Par grand froid, ne sortez pas votre matériel photo par avance. Laissez-le au chaud dans sa valise. Attention au retour : pour éviter le risque de condensation, n’exposez pas brutalement votre appareil à une ambiance chaude (le bistro du coin, par exemple) et SURTOUT ne l’ouvrez pas. Attendez qu’il prenne doucement la température ambiante (dans une valise ou dans un sac photo). La condensation peut aussi se former dans l’objectif et sur le film lui-même. Sortez-le dans un endroit sec, une fois le boîtier réchauffé.

Les joints
L'entretien des joints est aussi espacé du faite de la moindre aggressivité de l'eau douce. Ca ne veut pas dire que c'est un point à négliger mais uniquement qu'il faut rester attentif. Surveiller l'aspect des joints apparents: s'ils craquellent en surface, changez-les sans trop tarder. Ayez également conscience que les autres joints, invisibles ceux-là, ne tarderont pas non plus à présenter des signes de vieillesse. Après tout remplacement, faites un essai du caisson en plongée et à vide (un essai dans la baignoire reste insuffisant). Ce dernier point est important si vous ne voulez pas perdre bêtement votre boîtier.

Mise à l’eau: attention !
En lac, les mises à l’eau généralement plus douces qu’en mer (pas ou peu de bascules en arrière dans le genre "commando Hubert"). Et si quand même vous deviez sauter d'un bateau, faites-vous passer votre caisson chéri par une personne une fois à l'eau.
Prudence est mère de sureté. Les premiers mètres sont le passage le plus délicat pour les joints qui ne sont pas totalement en place (ma seule noyade fut un cheveu placé en travers du joint principal du caisson). Pendant les quelques minutes qui suivent l'immersion, je suis très vigilant sur un éventuel signal du détecteur d'entrée d'eau du caisson, tout en restant à l'écoute d'un éventuel disfonctionnement de mon recycleur (merci les rEvodreams). Lors du contrôle de la Ppo2 à -6m, je profite également de voir si tout se passe bien. Je préfère perdre un peu de temps plutôt que de me pourrir la plongée avec des pensées douteuses sur l'étanchéité de mon matos.

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